Le document pdf joint, communiqué par le ministère de l’éducation nationale et de la jeunesse contient des informations importantes sur l’utilisation d’outils numériques. La solution "Ma classe à la maison" proposée par le CNED est à privilégier notamment.
En voici un extrait :
Nous observons que les enseignants, les équipes pédagogiques peuvent être amenés à utiliser des outils portés par des entreprises internationales en remplacement des outils mis à disposition par les services de l’Éducation Nationale. Ces solutions peuvent créer de vraies difficultés qui pourraient naître après la crise que nous traversons. Le ministère ne valorisera pas ce type d’outils en cette période de crise.
Chaque mise en œuvre d’un outil doit respecter les règles données par la DINUM concernant la réversibilité, l’accès aux données, la protection des données personnelles et la conformité stricte au RGPD, le respect strict de la réglementation française et européenne, sans extraterritorialité, l’accessibilité des solutions aux personnes en situation de handicap, et la réduction de l’empreinte carbone.
Des cyber-attaques contre nos systèmes informatiques ont été signalées. La plupart avaient pour objectif de récupérer des données. Il est donc important d’accorder une vigilance particulière aux solutions proposées par les éditeurs.
Nous avons été amenés à échanger à plusieurs reprises avec les autres ministères et la DINUM dont la position est identique : « Ce foisonnement d’initiatives, qui partent d’un très bon sentiment, nécessite néanmoins de garder la tête froide et d’allouer les ressources limitées dont nous disposons aux projets les plus efficaces et qui s’inscrivent dans la cohérence de l’action gouvernementale. » [Nadi Bou Hanna – Directeur de la DINUM].
Chaque mise en œuvre d’un outil doit respecter les règles données par la DINUM concernant la réversibilité, l’accès aux données, la protection des données personnelles et la conformité stricte au RGPD, le respect strict de la réglementation française et européenne, sans extraterritorialité, l’accessibilité des solutions aux personnes en situation de handicap, et la réduction de l’empreinte carbone.
Des cyber-attaques contre nos systèmes informatiques ont été signalées. La plupart avaient pour objectif de récupérer des données. Il est donc important d’accorder une vigilance particulière aux solutions proposées par les éditeurs.
Nous avons été amenés à échanger à plusieurs reprises avec les autres ministères et la DINUM dont la position est identique : « Ce foisonnement d’initiatives, qui partent d’un très bon sentiment, nécessite néanmoins de garder la tête froide et d’allouer les ressources limitées dont nous disposons aux projets les plus efficaces et qui s’inscrivent dans la cohérence de l’action gouvernementale. » [Nadi Bou Hanna – Directeur de la DINUM].